Dankeschön für die vielen Reviews und Nachberichte. Hier einige Auszüge:

Empulsiv.de

Der E-Circus in Gütersloh

http://empulsiv.de/magazin/423-ohren-und-augenschmaus-electronic-circus-2014

Musikzirkus-Magazin Stephan Schelle

Der Nachbericht ist hier zu finden

Ecki Stieg  (Grenzwellen)

Zeitreise: Das ist der Mann, dessen Radiosendung "Rock In" mich im zarten Alter von 12 Jahren maßgeblich prägte und in der ich zum ersten Mal die Namen Tangerine Dream und Klaus Schulze wahrnahm: Winfried Trenkler.
Diese historische Begegnung fand vor wenigen Minuten auf dem wundervollen Electronic Circus-Festival in Gütersloh statt.

Gütersloher Kultur NW 8.10.2014

Sylvain Mazars (in frz.) im ENCORE Magazin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zurück vom Electronic Circus Festival 2014. Außergewöhnliche Stimmung mit Alerick Project, Bernd Kistenmacher, Vile Electrodes und Jerome Froese. Danke Hans-Hermann und Frank. Bericht auf französisch, wie immer.

mercredi 8 octobre 2014

Electronic Circus 2014 : électrique éclectique

Depuis 2008, le festival Electronic Circus rend compte de la variété et de la richesse de la musique électronique dite traditionnelle. Toujours sous la houlette de Frank Gerber et Hans-Hermann Hess, cette 7e édition a une fois encore su mettre en perspective des courants très dissemblables. Qu’ont en commun les Italiens d’Alerick Project, les Britanniques Vile Electrodes et les Berlinois Bernd Kistenmacher et Jerome Froese, si ce n’est l’usage des machines ? Savoir rassembler tout ce petit monde dans l’arène, tel était le secret de cette édition, illuminée par la présence de Johannes Schmoelling, ancien de Tangerine Dream et partenaire de Jerome Froese au sein de la formation Loom.

 
Jerome Froese & Loom live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Jerome Froese, Robert Waters et Johannes Schmoelling : Loom réuni sur la scène de l'Electronic Circus 2014
Gütersloh, le 4 octobre 2014
 
Hans-Hermann Hess & Frank Gerber @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Hans-Hermann Hess, Frank Gerber
Comme chaque année, Frank Gerber et Hans-Hermann Hess, les maîtres d’œuvre de l’Electronic Circus, sont aussi les maîtres de cérémonie de l’événement. Et chaque année, Frank Gerber rivalise d’inventivité pour dénicher les déguisements les plus improbables. C’est en costume rococo fin XVIIIe siècle, coiffe en ailes de pigeon et masque – très vaguement – vénitien sur le visage qu’il accueille le public de cette septième édition du festival de musique électronique.
 
Alerick Project live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Alerick Project
C’est que la première formation invitée sur la scène de la Weberei, à Gütersloh, vient d’Italie. Les Romains Alessandro Ghera et Riccardo Fortuna forment le duo Alerick Project, dont le concert du jour constitue tout bonnement la toute première prestation live. Alerick Project commence plutôt bien, tout en ambiances et en séquences, mais dès le second titre, se laisse emporter par un goût peut-être immodéré pour les tempos binaires et les rythmes techno, replongeant aussitôt dans l’anonymat du beat. C’est dommage, car lorsqu’il s’agit d’atmosphères et de textures, les deux hommes savent ce qu’ils font. Le set aurait probablement été plus adapté sur un dancefloor – où la musique compte moins que la pulsation – qu’à la Weberei, devant un parterre de places assises. Mais heureusement, Alessandro Ghera et Riccardo Fortuna savent capter autrement (ou détourner ?) l'attention de l'assistance grâce à des projections vidéo qui sentent bon l'Italie, comme ces silhouettes de femmes dénudées se trémoussant à gogo, très commentées à l'issue du concert.
 
Bernd Kistenmacher live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Bernd Kistenmacher live @ Electronic Circus 2014

Bernd Kistenmacher live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
On entre dans le vif du sujet avec Bernd Kistenmacher, l'une des valeurs sûres de la scène électronique berlinoise, qui présente aujourd'hui son nouvel album, Paradise, malheureusement pas achevé à temps pour le festival. Après Utopia en 2013, Kistenmacher explore donc un autre thème inépuisable de la philosophie classique : le paradis. Mais quand il nous parle de paradis, le musicien veut plutôt dire « paradis perdu », comme l'atteste la couverture de l'album à venir, superbe représentation d’un bout de forêt tropicale en flammes. Paradise se veut donc un hymne à la nature, la traduction en musique d’un sursaut écologiste. Les larges extraits du disque interprétés par le Berlinois sur scène, une fois de plus illustrés à l'écran par les remarquables fractals d'Andreas Schwietzke, semblent même véhiculer quelques accents inquiets. On y retrouve aussi le pur style Kistenmacher, symphonique et solennel, dramatique et mélancolique, très adapté au sujet.
 
Bernd Kistenmacher live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Depuis presque trente ans, Bernd Kistenmacher développe en effet un son bien à lui, assez éloigné des lignes de séquenceurs typiques de la Berlin School à laquelle on l’associe souvent. Outre ce profil atypique, il est aussi l'un des rares musiciens professionnels à avoir émergé de ce qui, paradoxalement, est à la fois une niche et une scène pléthorique. Témoin de cette professionnalisation, MI Records, son label, vient de franchir le pas du vinyle, en rééditant en 33 tours son tout premier album, Head-Visions (1986). A l’époque, le disque était illustré par une sculpture ethnique du plasticien Rainer Kriester, aujourd’hui disparu. La réédition rend un bel hommage à cet artiste, plaçant son travail quasiment à égalité avec la bande son, dont Bernd Kistenmacher ne manque pas d’interpréter un extrait en rappel à Gütersloh : l’incontournable Rücksturz. Très applaudi, le Berlinois remercie à son tour son public en photographiant la salle en liesse, une pratique de plus en plus courante chez les musiciens désireux de bâtir une relation durable avec leurs fans. Mission accomplie, Bernd !
 
Bernd Kistenmacher live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Le temps d’annoncer les résultats de la journée de foot (Frank Gerber dans son maillot fétiche, est très satisfait de révéler aux nombreux supporters de Dortmund la cruelle défaite du Borussia à domicile, mais aussi la victoire 4-1 de son équipe à lui, l’Arminia Bielefeld, sur le leader de D3 allemande, le Dynamo Dresde)… et il est déjà temps de préparer le matériel des deux shows suivants.


 
 
Martin Swan & Anais Neon : Vile Electrodes live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Vile Electrodes live @ Electronic Circus 2014

Martin Swan : Vile Electrodes live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Martin Swan
Déjà à l'affiche du précédent Electronic Circus, les Anglais Anais Neon et Martin Swan alias Vile Electrodes remontent sur scène armés d’une bien meilleure notoriété que l'an passé. Le couple interprète ce soir de nombreux titres frais, extraits d’un second album en préparation. Des morceaux ciselés, doués d’un potentiel commercial incontestable et qui n’attendent que de se faire connaître. Très agité, survolté même, Martin a beaucoup à faire derrière ses machines et sa forêt de câbles, tandis qu'Anais, concentrée sur le chant, utilise les générateurs de boucles avec intelligence pour démultiplier sa voix. La décontraction de Martin contraste avec le tempérament peut-être plus soucieux de sa compagne, qui croise les doigts à plusieurs reprises dans l’espoir que le bon set d’instruments se charge correctement. De précédents concerts leur avaient valu quelques mésaventures.
 
Anais Neon : Vile Electrodes live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Anais Neon
Mais depuis un an, Vile Electrodes a déjà franchi une étape, comme en témoigne la réaction du public. Ce dernier reconnaît déjà et applaudi bruyamment les anciens titres, ceux du premier album, The Future Through a Lens. Voici donc un groupe encore jeune, mais dont le répertoire comporte déjà une poignée de standards qu'un public qui n'est pas le sien lui réclame, au premier rang desquels figure le rappel, Proximity : un modèle de musique électronique contemporaine. Chaque élément s’y insère pile au bon moment : les paroles brutes, le rythme massif, les séquences dignes de la Berlin School, mais employées dans une tout autre perspective, et bien sûr la prestation vocale de la chanteuse, probablement la plus captivante de tout le répertoire de Vile Electrodes. A l’issue du concert, le stand de merchandising du duo est immédiatement pris d'assaut par les visiteurs, intrigués par l’extravagant costume de scène tout en latex moulant de la belle Anais, et plus généralement par l’identité visuelle fortement fétichiste du groupe.
 
Jerome Froese live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Jerome Froese live @ Electronic Circus 2014

Robert Waters : Jerome Froese live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Robert Waters
Jerome Froese solo en tête d’affiche : sur cette scène très particulière, c’est un véritable événement qu’ont réussi à organiser Frank Gerber et Hans-Hermann Hess. Depuis la fondation de Loom en 2011, le fils unique du fondateur de Tangerine Dream, lui-même membre du groupe de 1990 à 2006, a pris une nouvelle dimension. Si bien que, même en solo, ses partenaires de Loom, Robert Waters et Johannes Schmoelling (autre grand ancien de Tangerine Dream de 1980 à 1985) viennent l’accompagner sur scène. Tout à sa guitare, Jerome laisse en effet la haute main à Robert Waters sur les machines pendant toute la durée du concert. Mais, comme il l’explique lui-même, la guitare n’est pas conçue ici seulement comme un instrument solo. Elle participe elle-même à la charpente de chaque morceau. Jerome débute par un extrait de son dernier EP, #! (Shebang), sorti la veille, avant de se livrer à une revue fluide et sans trêve de sa discographie depuis 2005.
 
Johannes Schmoelling : Jerome Froese live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Johannes Schmoelling
L’entrée en scène tardive de Johannes Schmoelling ne passe pas inaperçue. L’homme est une légende sur la scène électronique, et personne n’a oublié sa contribution à certains jalons essentiels de l’histoire de la musique électronique, comme Tangram, en 1980. A cet instant, c’est bien Loom qui se reforme pour toute la fin du concert. Aussitôt, l’ambiance, plutôt sombre et dramatique jusqu’alors, se fait plus aérienne et romantique. La magie ressurgit comme par miracle. Tout est là : les textures uniques et le toucher reconnaissable entre mille de Johannes. Après seulement un titre de Tangerine Dream période Jerome Froese (La Marche) et un morceau solo de Johannes (A Long Time Ago), le groupe quitte déjà la scène. Mais le public insistant finira par obtenir pas moins de trois rappels : les deux hymnes de Loom, Rejuvenation et Time & Tide (une composition de Johannes et de son fils Jonas), puis le hit grandiose de Tangerine Dream période Schmoelling, Choronzon, qui figura de 1980 à 1983 sur la track list de presque tous les concerts de TD.
 
Jerome Froese live @ Electronic Circus 2014 / photo S. Mazars
Jerome Froese

Johannes Schmoelling aux claviers, Jerome Froese à la guitare s'adonnent sur scène à un dialogue joyeux qui ajoute à l'ambiance. La longue complicité des deux hommes, leur joie de jouer ensemble sont manifestes. Leur prestation est un exemple de l'immense fécondité de cette rencontre intergénérationnelle, qui est aussi une rencontre de styles. Bercé – au sens littéral – aux sons du Tangerine Dream de la grande époque, Jerome a su innover, s’ouvrir au monde et introduire d’autres influences. Le concept de rock électronique, qu'on appliquait autrefois à ce type de musique faute de trouver un genre auquel la rattacher, prend avec Jerome Froese un sens nouveau, et très positif.

 

Koos van Wijngarden EM Portal

Berichte und Fotos sind hier zu finden

 

René van der Wouden

Day after the electronic music festival of the Year. Electronic Circus edition 7.

Yesterday picked up by a most friendly guy and a horrible driver in one person, mr Koos van Wijndruiven in his wonderful Ford Focus 5.0 V8. As great as the festival are the journeys with Koos. My 3rd. Thank you so much again for the pleasant talks, the food and beers and most of all the scary moments during the ride.

Arrived at the Weberei 13.20 hours, we went inside to see the first act:

Alerick Project

I was pleasantly surprised by this band. This upbeat electronic, emotronic music with this typical Italian flavor. I enjoyed all the tracks a lot. What a great opener! Give them already one of the Schallwelle 2014 awards because they deserve it.

Bernd Kistenmacher

What to say? 30 years experience and joy in 90 minutes. Funny moment to take a photo of the crowd because starting. Nobody would foresee that in 1985. Classic Berlin sequencing. Learnt a lot again from this guy. This is how we want it.

Vile Electrodes

Back for a second time with a wonderful set of songs, very well performed by both artists. She has a very clear voice with a great tone in it. If they come next year again, I wouldn't mind.

Jerome Froese with guest appearances of Rob Waters & Johannes Schmoelling

Splendid concert! Jerome is a very skilled and professional musician. Mr Waters was the coolest person on stage that day. He did what he had to do and succeeded very well. And then came Der Schmoelling. He was most excellent in his solos again. Although I missed L.A. Streethawk in the set, I enjoyed this concert a lot as well. I personally always like the composition style of Jerome Froese.

Overall conclusion: it's clear I think. I attended the most enjoyable EM festival of the last 10 years. The performances were outstanding, the EC-crew was again very professional and the PA-sound was extraordinary good. Almost HiFi I would say.

Alessandro Ghera (Alerick Project)

Thanks to all EC staff for all support and collaboration, special thanks to Hans-Hermann and Frank for the invitation and fantastic evening that we spent all together. We really enjoy it and we had so much fun. Thank you. Alessandro

Jane Caley (Anais Neon) VILE ELECTRODES

Thank you SO much for inviting us back again. We had such a wonderful time with you guys! I'm only just back to reality now LONG LIVE ELECTRONIC CIRCUS!!xx   (after the Concert)

Hello Facebook world! This is a rather tardy GERMANY WAS UTTERLY BRILLIANT post. Thank you to Hans-Hermann, Frank Gerber and all at Electronic Circus for inviting us to play at their wonderful festival again, and also to Kirill Galetski for helping us to arrange a show in Berlin. We finally got to sightsee this time round, and it's an utterly beautiful city. Can't wait to go back for more.

We're back on the Vile Band Wagon tomorrow, with our first London show in over two years, so don your vilest finery and come and have a dance with us at Moog50London. It's at St George's, Bloomsbury. Doors at 6.45pm, and tickets are £18.99 on the door.

Oh, and STOP PRESS! Moog have only gone and loaned us a Moog Sub 37 to use for the night. I think it's the first one in the UK! Amazing.

Bernd Kistenmacher

Danke Electronic Circus. Es war ein toller Tag! Hach war das Schön. Dank an Euch . Electronic Circus rocks !!!!!

Johan Tronestam

Every minute of the weekend was extremely valuable

Lo La Li

Hat wieder richtig Spaß gemacht! und war ganz besonders unterhaltsam.:-)))

Udo Lubritz

Da gibt es nur eines: Daumen hoch und zwar alle! All the Thumbs up!

Claudia Pawlowski

Ein toller EC. Ein großes Dankeschön an die Organisatoren und die vielen Helfer!

Andreas Pawlowski

Auch von mir ein DANKE an Euch alle! Ihr habt wieder Großes geleistet und der Besuch des Festivals hat sich gelohnt! :-))

Gerd-Henrich Nordsee-Segler

Oooooh...what a great deal it was !!! .zusammen mit Tangerine Dream in Kopenhagen ist der gestrige Auftritt von LOOM mein Musik-Highlight 2014

Grit Cheraka

Danke Frank und Hans-Hermann und alle Mitwirkenden und Künstler...es war wieder sehr lustig, großartig und horizonterweiternd...

(+ Herz)

Elke Zumdiek

Ganz,ganz herzlichen Dank für ein wunderbares Musikerlebnis!Ich bin noch ganz geflasht.Tolle Stimmung,habe lange nicht so viel Spaß gehabt wie Gestern.Absolutes Highlight "Johannes Schmoelling!" , der eine wahnsinns Energie und Leidenschaft verbreitete!

Frank Mäker

Der Electronic Circus 2014 ist Geschichte. Mein Fazit: Ich habe mal wieder tolle Menschen getroffen( und einen Idioten) mit denen ich meine Leidenschaft für EM Musik Teilen durfte. Die Konzerte haben mir alle gut gefallen wobei für mich der Höhepunkt das Konzert von Jerome Froese war als Johannes Schmoelling auf die Bühne kam( war nicht anders zu erwarten da ich alter T.D. Fan bin). Ganz besonderen Dank an die Veranstalter die mich wie immer Herzlichst in Emfang genommen haben ( ich nenne keine Namen damit ich Niemand vergesse) und einen tollen Job gemacht haben. Was ich noch loswerden wollte, obwohl ich bekennender T.D. Fan bin ist Stefan Erbe meine Lieblingsband.

Stefan Kemper

Das war mal wieder ein toller Tag im Circus. Vielen Dank und bis zum nächsten Mal.

Bernhard Popp

It was a wonderful concert of Vile Electrodes! .... and they are very very kind people. Was sooo nice to meet them! bei Bernd Kistenmacher paaren sich Menschlichkeit, Professionalität, musikalisches Talent und Können... und Liebe zum Detail. Das konnte man hören! Danke!

Sylvain Mazars

Danke Frank und Hans-Hermann. Ihr habt es schon wieder geschafft. Bitte grüsst das ganzes Team von mir, besonders den Lutz.

Nor Bert

für mich war Bernd Kistenmacher das highlight des tages

David Wright

So, the end of a very long day at the electronic circus in Guttersloh. As always, a good crowd and many fans and friends to talk to all day. Great to chat at length with Bernd Kistenmacher and also great fun at the end with our 'Brit corner', AD, Vile Electrodes and VOLT. After a slow start on the stand, it ended up a good day and even converted some people to Acheloo and Iotronica music!

Armin Geckeler

WAR ECHT TOLL !!!

Fred Fahrenberg

wärt ihr da gewesen hättet ihr noch die musik in den ohren

Tomat Giordano

Hallo Freunde der EC. Ich hoffe nicht zensiert werden, aber ich denke, dass jeder Mensch kann sagen, was er denkt. Über die Organisation der EC war ich sehr zufrieden, einwandfrei. Ich muss sagen, dass ich noch nicht alle Konzerte gesehen habe. Das erste Konzert war schön, obwohl ich hörte etwas Neues. Natürlich bin ich ein wenig voreingenommen, da ich kenne Alessandro seit fast 30 Jahren. Von dem Konzert von Bernd Kistenmacher nichts zu sagen, einfach perfekt. Nicht für diesen bereits im Jahr 2000, lud ich ihn in Italien zu spielen. Sein Geschick und die große Ähnlichkeit mit der Musik unserer Lands Klaus Schulze. Die dritte Gruppe leider habe ich ihn nicht gehört, weil von einem dummen Pizza, als die Zeit, die Bestellung mehr als eine Stunde vergangen ist. Jetzt, was ich dachte, war der beste des Abends, leider war ich ein wenig enttäuscht, als ich erwartet hatte, ein wenig mehr von Jerome. Und das nicht nur nach dem Eingang von Schmölling. Wo war der berühmte Berliner Schule ?? Sequenzen. Ich weiß nicht, was ich sagen soll. In jedem Fall ist aber ein plus Punkt für Jerome für mich eine sehr nette Person, die mich aufgehört hat, ohne dazu verpflichtet zu sein. Danke Frank und Hans- Hermann

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